mardi 31 juillet 2007

24 heures plus tard

vous savez quoi ?

un enfant, voire deux, cela sait aussi être silencieux

exact

1ere journée de rêve avec les deux petits mouflards : de rêve, du rêve, le tout dans une atmosphere civilisée de club a cigares

bon c est cool, je veux bien commencer a envisager avoir des marmots quand je serai grande



autre chose aussi, petite astuce : ne jamais repousser ce qui doit etre fait pour plus tard, genre quand ils feront la sieste
au contraire
apres manger tu les colles sur la terrasse, tu ranges tout, et apres seulement tu les colles en sieste pour ne pas avoir perdu une seule minute de leur précieux sommeil, aussi réparateur pour eux que pour toi


cool quoi

je vais bien
1ere journée = I am the survivor

lundi 30 juillet 2007

qwerty

bon ca y est la tanate bigleuse est arrivee chez les Dodinous garder les gnômes pour quelques jours

et j ai aujourd hui fait une decouverte : un enfant, voir deux enfants, tenez vous bien, ca fait du bruit

beaucoup de bruit

je rigole : je savais deja, je dis ca juste pour la qualite du recit

mais je commemce mal mon recit

reprenons depuis le debut





dimanche matin, zizule levee au point du jour, se translate miserablement en RER jusqu a l aeroport, courtoisement accompagnee par l Elu encore plus miserable dans la mesure de l (in)existant

passe la douane, une gueule de bois d enfer ne m empeche pas de lire un SMS maternel : "achete des chocolats duty free pour la nounou, ca lui fera plaisir"

bon, duty free ok

j appelle l Elu de plus en plus dissous dans son marasme ethylique, et je lui demamde "tu sais a quoi ca ressemble les boites de chocolats de la marque duty free ?"

"..." au bout du fil

encore "..."

puis "vas y traduit pour voir"






j ai du rougir

lundi 23 juillet 2007

Continuation longtemps retardée de notre série sur les élites françaises:

Il me semble – et j'ai développé souvent cette idée dans les après-dîners brumeux de ma khâgne et de l'année suivante – que les êtres humains se distribuent entre quelques types relativement peu nombreux, et dont ils s'efforcent, à mesure qu'ils avancent en âge, de copier plus rigoureusement les traits principaux et les tares conséquentes. On reconnaît aisément dans la rue, grâce à la fréquence de ses déambulations, le boulet don-juanesque auquel n'importe quelle Parisienne d'apparence comestible aura eu l'occasion de se frotter. Autre habituée de nos trottoirs parisiens, la pouffe, individu d'élite dont la démarche aérienne est copiée servilement, derrière elle et sur ses côtés, par de fières armadas de jeunes filles dont la technique et le look demanderont encore, pour la plupart d'entre elle, quelques années de préparation. Ces types humains – et combien d'autres – on les repère, on les cite fréquemment, et, pour peu qu'on soit employée comme pigiste sur le blog de Zizule, on leur casse du sucre sur le dos à longueur de chroniques.

Mais il existe un autre type que personne ne se soucie de cataloguer, ou même d'identifier. Il abonde pourtant sur les allées du Boul'Mich', et son odeur caractéristique, son air hagard et ses hardes salies en font une proie de choix pour le touriste qui, plus sagace que le Français de souche, piste l'étudiant-Sorbonnard et sait le débusquer. Il ne se trompe que sur une nuance subtile. Ne peuvent se promener, l'air vide et la face ennuyée, passées six heures dans le Quartier Latin, que les jeunes gens logés sur place; au vu des prix de l'immobilier dans le cinquième arrondissement, et du peu de commerces pour le rendre attractif, on peut parier que ces bestioles dont l'errance lugubre au coin des rues du centre déroute le chercheur, sont des normaliens, et qu'ils s'acquittent envers l'Etat, plutôt que d'un loyer, de la somme raisonnable de 250 euros tous les mois, pour avoir le droit d'habiter une chambrette dans les hauteurs de la rue d'Ulm.

Continuons l'analyse. L'être pouilleux se hâte d'intégrer la première librairie qu'il croise, comme un pervers sa boutique fétichiste. Il est fort peu probable que ses études l'aient poussé vers les mathématiques pures ou le touillage des molécules; c'est donc qu'il fait profession de lettreux, et qu'il épuise déjà, chez Gibert ou chez Compagnie, les maigres rentes que lui alloue le ministère pour se constituer une culture, avec l'espoir un peu grotesque d'obtenir sans trop se fatiguer cette chose que l'on nomme (ou plutôt que l'on ne nomme jamais, pour ne pas attirer sur soi la malchance), l'agrégation. C'est son obsession première et indéracinable depuis le jour où il est entré à l'Ecole, et où il lui est apparu que son destin, c'est la galère au service de vieux morts. L'agrégation est un concours difficile, de l'avis de tous vraiment abrutissant, mais la seule garantie dont disposent tous ces gens d'avoir un jour les sous pour nourrir une famille. Or, des familles, il s'en forme, puisque les mariages précoces sont un des fléaux routiniers de la vie normalienne, conséquence sans doute d'éducations trop rigides ou de lectures mal orientées. Toute mon action démoralisante n'a rien pu y changer.

Ce que nous prenons, nous promeneurs alertes et heureux d'exister, pour des épouvantails décrochés de leur support, ce sont donc des enfants (ils ont vingt ou vingt-deux ans) que l'on saisit entre deux périodes particulièrement intenses de bachotage idiot. Le normalien A/L naît de la conjonction entre la khâgne classique (outil des classes supérieures pour perpétuer le latin comme langue de communication) et la réussite à un concours, opportunément nommé concours A/L, ou concours littéraire A, ce qui sous-entend qu'il y a un concours littéraire B, mais ça n'est pas mon propos. Ce concours a une justification principale: il donne une raison d'exister à quelque mille ou mille deux cents khâgneux, qui sont les restes décharnés de ces très bons élèves que nous rencontrions au primaire, effondrés sur les marches de la cantine à lire Georges Chaulet ou leurs cours de grammaire, et qui se prenaient, avec la régularité sublime des cycles de l'Univers, la pluie, la rotation des saisons, le défilé des heures dans le sein des journées, des coups de pied au visage de la part de gros lourds qui les traitaient d'intellos. Réfugiés très jeunes dans la littérature, seul refuge à leur angoisse devant les mystères de la vie sociale, ils s'y sont constitué par imprégnation et parfois par passion réelle un répertoire de citations qui, au moment d'affronter les gorgones de l'oral du concours, trouve un emploi nouveau et heureusement rémunérateur.

Les soixante-quinze khâgneux qui chaque année font fructifier leur apprentissage en franchissant les portes de l'Ecole croient quelques heures qu'on va désormais leur foutre la paix. Quand ils croisent par hasard leurs anciens camarades (retrouvés sur Facebook ou dans les malles poudreuses qui contiennent les photos de classe), ceux qui les bourraient de baffes à la récré de dix heures, et qui sont devenus garagistes ou travaillent dans la pub, ils les toisent sans pitié et songent avec délices à la carrière glorieuse qu'eux vont décidément emprunter. Ils s'imaginent aussi qu'après avoir fourni deux, trois ou quatre ans d'efforts continus pour être admis dans le saint des saints, qu'après avoir lu ou relu la Critique de la faculté de juger, les œuvres complètes du marquis de Sade (en Pléiade depuis la rentrée 1990) et quelques tomes dépareillés de la NHFC (Nouvelle Histoire de la France Contemporaine) , ils ont suffisamment prouvé leur nature supérieure, et que tous ensemble leurs parents, leurs condisciples des khâgnes du Quartier Latin et les vieux profs de la Sorbonne vont s'incliner devant leurs mérites juvéniles. L'agreg? Une blague. Il suffit désormais de se payer de mots. « Je suis normalien » vous dit le jeune admis avec des flammèches dans le regard, pour signifier que quelles soient ses intentions ou ses désirs, le cinéma, la politique, l'élevage des dindons, tout lui est désormais permis et les laquais de l'Elysée vont bien sûr s'incliner.

En vérité il n'en est rien. Au bout de six mois de glandouille le jeune A/L comprend que les diplômes de l'Université, même ceux du premier cycle, s'obtiennent à force de travail; que les interlocuteurs si divers auxquels ils recasent le « Je suis normalien » restent au mieux poliment surpris, et ignorent sans la moindre honte les démarches et le protocole que cette annonce devrait générer; que, normalien ou pas, premier ou pas, sans agrégation l'existence sociale du lettreux est réduite à à peu près rien. Alors ils commencent à bûcher et à redouter, d'un côté les 6èmes des cités de la banlieue Nord qu'on leur agite à la face comme le châtiment nécessaire de leur appétit pour les lettres, de l'autre les heures solitaires de la rédaction d'une thèse, qui privent ces malheureux de leur virées ciné et ne les assurent seulement pas d'obtenir une affectation décente.

Voilà pourquoi descendent tous les jours, depuis leurs perchoirs qui dominent le Panthéon, les normaliens A/L vers le Boulevard Saint-Michel; et ainsi à la fraîche vous les verrez ruminer, moroses et ralentis, les quelques vagues raisons qu'ils ont encore de se sentir supérieurs:
« Ben quoi, chuis normalien, hein! »


Perséphone

vendredi 20 juillet 2007

triturage de cerveau

Aujourd'hui j'ai rempli un tableau budjétaire.

Question : comment transformer des kW/h/kg, des t/an, des €/kW/h et des h/an en €/an.

J'ai du mobiliser le service de calcul pour trouver la réponse.

Le premier à trouver gagne mon admiration éternelle.
J'autorise Cz (objet du premier post de Janvier 2007) à répondre, à la condition expresse qu'il frime, juste pour rigoler.

Bonjour chez vous.

mercredi 18 juillet 2007

zizule s'essaye au golf

hier soir zizule allâ z'avec sa patronne faire du golf

autant vous dire que zizule n'en avait jamais fait

éh ben croyez moi : qu'est-ce qu'on s'maârre !!

tout d'abord et avant toute gausserie j'avoue que zizule a pas mal kiffé le golf (y paraît que j'ai des goûts de luxe : ce qui explique que je me fringue comme une vieille patate frippée. Evidemment ! Pas le budjet pour m'acheter des vêtements dignes de mon nom!!)

Bon bon Hum Alors



Leçon n°1 : tenir la canne...le club.

(Leçon n°-1 : choisir la canne...le club : 85 formes, 72 poids, 18 inclinaisons, 6 ou 7 matériaux différents et une bizarre façon de compter les points que je me ferai réexpliquer avant de vous l'exposer)

Leçon n°1 : tenir le club en croisant le petit doigt de la main droite avec l'index de la main gauche (main gauche en haut, sous la main droite en bas. Les gauchers vous inversez, vous êtes gentils)

Leçon n°2 : poser la tête (du club) par terre, plier un peu les jambes, ployer le dos vers l'avant, (péter un coup...: facultatif)

Leçon n°3 : commencer à balancer légèrement le club de façon perpendiculaire à l'axe des pieds, dans la direction des piti drapeaux flottant paresseusement dans la verte prairie s'étendant à l'infini vers les cieux toujours bleu, en s'appliquant à venir racler légèrement la surface du sol, ainsi qu'en surveillant attentivement le gamin de 2 ans de la patronne qui s'obstine à venir vous crier son nom sous vos narines nacrées en vous appelant affectueusement "Mimi"

Leçon n°4 : répétez n°3 un minimum de 25 fois, sous l'oeil impavide de l'enfant prodige enchaînant les 150 mètres avec la souplesse du fouet d'Indiana Jones, et railleur de votre patronne

Leçon n°5 : placer une balle de manière à ce que lorsque vous êtes en position de péter (facultativement) un coup, la tête de votre club vienne se poser perpendiculairement à la direction dans laquelle vous souhaitez envoyer votre balle qui est en même temps sur l'axe qui passe perpendiculairement sur le point central de l'axe qui relie vos deux pieds.(...la médiane ?)

Leçon n°6 : réfrénez votre enthousiasme, ne surtout pas taper

Leçon n°7 : balancer négligemment votre club vers la droite (les gauchers, vous êtes gentils) en prenant garde que la tête du club garde son orientation grâce à une subtile torsion au niveau des genoux (interdiction de vous servir de vos poignets ou des vos épaules), venir frapper la balle sans forcer, sans oublier de racler légèrement le sol, juste pour voir

Leçon n°8 : ça s'appelle la chance du débutant

Leçon n°9 : répéter leçon n°4 puissance 36

Leçon n°10 : progressivement balancez de plus en plus loin votre club, toujours en surveillant du coin du club les ânneries de votre nouvel ami le nain

Leçon n°11 (j'en suis pas encore là) : payer l'adhésion au club

Leçon n°12 : apprendre les règles

Leçon n°13 : répétition de n°9

Leçon n°3 974 682 : vous êtes Tigger Woods !!

Leçon n° 3 974 683 : vous faites une élégie télévisée à votre premier professeur : Zizule

mardi 17 juillet 2007

standardiste

ces jours-ci je me la joue standardiste

ça peut même devenir rigolo quand un italien avec un accent suisse m'appelle pour me proposer un devis à 2 573 689 € HT.
"Ah ? euh ... tout ça ?"



Ou quand je décroche le téléphone, et entends
"Bonjour, je voudrais parler à Mme Trucmuch' SVP"

et moi de répondre :
"Ouiiiii, alors je travaille dans la société Trucmuch', je m'appelle Mlle Machinchoz"

"Whaaaheuuuouiii, alors, euh, hum, 'xusez, hum...(vite on enchaîne) Savez-vous que nous sommes la première entreprise en France pour les portillons de détecteurs de métaux dans les aéroports ?"

"Noooonn ?! Mais moi en fait ce qu'il me faut c'est du 2-3 t/h de plastique, vous voyez."


Et le beau bouquet de fin de journée :
"ah oui ? votre machine me coûterait 30 000 € ? C'est marrant, votre concurrent me propose 200 000 €...trop cool !"

jeudi 12 juillet 2007

Bruxelles est mon amie

Tout ce qui suit est issu d'une chaîne internet : auteur inconnu, données non confirmées même si ce que j'ai entendu sur TF1 l'aut' jour y ressemble un peu quand même
...
et pi c'est juste pour que vous puissiez pas dire que vous z'êtes pas au courant
...
alors ne venez pas me tomber dessus !!


Hum hum


Le 1er Juillet 2007 le marché de l’électricité et du gaz sera ouvert à la concurrence.
Pour info

Les fournisseurs Electricité :
- ALTERNA
- COMP. NAT. DU RHONE (SUEZ)
- DIRECT-ENERGIE SA
- EDF
- ELECTRABEL France (SUEZ)
- ELECTRICITE DE STRASBOURG
- ENDESA ENERGIA
- ENERCOOP
- GAZ DE France
- GAZ-ELECTRICITE-DE-GRENOBLE
- OUEST ENERGIE
- POWEO
- SIGEXY
- SOREGIES
- USINE ELECTRIQUE DE METZ

Les fournisseurs Gaz :
- ALTERGAZ
- BP GAS & POWER
- DISTRIGAZ
- EDF
- ELECTRABEL
- ENI
- E.ON GROUP
- GAS NATURAL
- GAZ DE FRANCE
- GAZ DE PARIS
- HYDRO ENERGY
- IBERDROLA
- POWEO
- SOTEG
- TOTAL
- WINGAS
Listes mises à jour régulièrement à consulter sur http://www.cre.fr

Au 1/07/07, vous aurez le choix entre :
- le tarif régulé (comme aujourd’hui) où l’Etat fixe les prix (peu de fluctuation car suit en général le coût de la vie),
- faire jouer votre « éligibilité », c’est à dire choisir le marché, faire jouer la concurrence.

Si vous faites jouer votre éligibilité, vous ne pourrez plus revenir au tarif régulé.

EDF, Gaz de France, Elec. de Strasbourg et de Grenoble, Usine de Metz sont les seules à conserver 2 types de tarifs : le régulé et le concurrentiel.
Et si on vous offre un diagnostique de votre installation et qu’on trouve des défauts, il est probable que vous soyez obligés d’y remédier à titre onéreux.

Alors il se peut que vous soyez contactés par EDF ou GDF (surtout GDF) pour vous entendre dire :
« venez chez nous, on vous fera un contrat unique, vous n’aurez qu’une seule facture, vous aurez des avantages (diagnostiques gratuits d’installation, l’énergie moins chère, une cafetière offerte, …) et dès la signature, votre facture baissera de X %… »
Aujourd’hui, EDF et Gaz de France sont devenues des Sociétés Anonymes, avec des actionnaires à rétribuer. Vous comprendrez donc aisément qu’elles ont intérêt à ce qu’un maximum de leurs clients quittent le tarif régulé…






D'autre part, jusqu’à aujourd’hui, un abonnement à l’électricité et au gaz était contracté par une personne physique ou moral. Le 1er juillet, c’est la notion de point de livraison qui prévaudra.
Ça veut dire quoi ce machin ?

- après le 1er juillet, vous décidez d’acheter une maison ou un appartement. Si le vendeur était resté à EDF et/ou GDF régulé, pas de problème. Par contre, si votre vendeur avait fait jouer son éligibilité, donc qu’il a quitté EDF et/ou GDF tarif régulé, vous ne pouvez pas prétendre au tarif régulé, car c’est la notion de point de livraison qui est prise en compte.
- Plus grave, idem pour le locatif. C’est à dire que si vous déménagez et que vous êtes en locatif (OPAC, privé…), vérifiez bien où votre prédécesseur dans le logement se fournissait car la aussi, si un locataire décide de quitter le tarif régulé, c’est le logement qui quitte définitivement ce tarif (attention encore, s’il vous dit qu’il était à EDF et/ou GDF, cela ne dit pas à quel tarif il était).
- Cela vaut pour le bailleur de logement qui risque d’avoir des difficultés ultérieures à louer ses logement qui ne seront plus au tarif régulé (d’autant plus qu’actuellement la loi sur la concurrence libre et non faussée lui interdit d’imposer à un de ses locataires de se fournir ici plutôt que la).


Voilà.

Mais c'est pas fini : à compter du 1er Juillet 2010, que vous accédiez à la propriété ou que vous changiez de résidence en locatif, vous n’aurez plus droit au tarif régulé.
Alors si vous avez prévu de faire construire ou d’accéder à la propriété, faites le avant cette date.

mardi 10 juillet 2007

Allôôôô ??!!!

"Ouiii, Bonjour Monsieur!! Je cherche à savoir combien coûte un container pour mettre des pare-chocs dedans !!!

-Ouiiii!! Alors euh...blablabla"

(échange d'e-mails, fax etc)

"Et combien vous voulez en mettre dedans des pare-chocs ? Parce que y a un poids limite, hein! Ca fait quoi un pare-choc ? Dans les 50, 60 kilos ?!!

- Euuuh...plutôt dans les 3-4!"

jeudi 5 juillet 2007

fin d'un cycle

j'ai commencé ce blog lors de ma studieuse expatriation

voici : le 84e post pour vous annoncer, sans solennité, que vous avez maintenant, et depuis 3 heures, affaire à une : maître es merdâsse

enfin maître es recyclage merdâsse, si vous voulez

mais allez-y, je lance le débat : quel titre me proposez-vous ?